Fusion Books choisit Bordeaux pour son lancement en France

Leader de l’industrie du yearbook en Australie, Fusion Books vient d’arriver sur le marché français. Cette start-up est née d’une question très …

Leader de l’industrie du yearbook en Australie, Fusion Books vient d’arriver sur le marché français. Cette start-up est née d’une question très simple : tout le monde se sert aujourd’hui de Facebook pour publier et partager des photos avec sa famille et ses amis ; pourquoi la création d’un yearbook devrait-elle être plus compliquée ?

Issu d’une tradition anglo-saxonne, le yearbook est un livre annuel qui célèbre les faits et les évènements majeurs d’une année passée à l’école (du primaire au supérieur). Il permet de mettre en scène et d’immortaliser les souvenirs des étudiants sur un support concret qu’ils auront plaisir à feuilleter encore des années plus tard. Et pour l’école, le yearbook correspond à une véritable encyclopédie des succès vécus au fil des années.

Les fondateurs australiens, Cliff Obrecht et Melanie Perkins, ont développé une application web qui permet aux écoles, clubs ou entreprises de créer un yearbook simplement, sans avoir d’expérience particulière en informatique, en édition ou en design.

Julien Beuvignon, anciennement chef de projets éditoriaux chez HighCo à Paris et Ainhoa Emaldi Azcue, directrice artistique freelance spécialiste de la photographie et de l’édition, ont passé deux ans au sein de l’équipe australienne. Et, après 3 mois passés aux commandes de l’équipe de production, ils se sont vus confier le marché français. Ils ont choisi Bordeaux pour installer Fusion Books France.

Pourquoi la France et pourquoi Bordeaux ?
Les chiffres français sont éloquents : il y a en France plus de 65 000 établissements scolaires (12 millions d’élèves) et plus de 4000 établissements dans le supérieur (2,5 millions d’étudiants). Soit un potentiel de près de 70 000 modèles de yearbooks pour un total de 14,5 millions d’exemplaires à imprimer chaque année (oui, il faut voir grand).
Melanie Perkins, co-fondatrice de Fusion Books, ajoute : “La France est un premier pas de choix vers les marchés internationaux. Les nouvelles technologies et les nouveaux services en ligne y ont le vent en poupe : les français sont bien équipés (informatique et photographie), sont très actifs sur les réseaux sociaux et s’intéressent de près à l’édition en ligne autonome (notamment les livres et albums photos). Et il y a un autre point très intéressant : la faible concurrence sur le marché du yearbook laisse à Ainhoa et Julien le champ libre pour un lancement confortable ».

Bordelais d’origine, Julien Beuvignon se réjouit de son retour à Bordeaux : « La ville est très dynamique. Elle est le berceau d’acteurs majeurs du e-commerce et la multiplication d’initiatives liées au numérique est très encourageante. Sans oublier que Bordeaux est une ville étudiante incontournable : près de 100 000 étudiants français et étrangers y étudient chaque année ». Il constate également que : « de plus en plus d’écoles fusionnent ou se rassemblent pour former de gros pôles pluridisciplinaires. Cela se remarque localement, avec l’installation d’imposants quartiers étudiants (Campus des Chartrons par exemple) et nationalement, avec la fusion d’écoles et le renforcement de réseaux d’écoles, avec une place de choix pour l’international. Tous expriment clairement le besoin de se différencier et utilisent tous les moyens disponibles pour valoriser leur offre éducative, leur sentiment d’appartenance et leur vie étudiante : tout ce qu’un yearbook peut offrir ! ».

Basque d’origine et bordelaise d’adoption, Ainhoa complète : « Aujourd’hui, Fusion Books est présente dans trois pays. Et avec les équipes australiennes et néo-zélandaises, à chaque fois qu’une idée passe, tout le monde donne le maximum pour lui donner vie et l’appliquer au business. Nous travaillons ensemble au quotidien et tout va très vite : c’est un véritable réseau de start-ups à taille humaine qui permet d’avoir des retours d’expérience très rapides pour évoluer. »

Voici le scénario type pour la réalisation d’un yearbook avec Fusion Books.
> Au sein d’un établissement, le responsable du projet se connecte à l’application : il crée et ordonne les pages du yearbook comme il l’entend.
> Il invite des contributeurs par e-mail via l’application (élèves, enseignants ou autres) et leur affecte des pages du yearbook. Ces derniers peuvent éditer leurs pages simultanément en se connectant au projet avec leurs codes personnels. Ils importent leurs photos, textes et les aménagent à leur goût. Et le livre se construit progressivement au fil des semaines.
> L’espace de travail est sécurisé et reste accessible partout et à tout moment (dans le cloud).
> Le design est instinctif et les ressources graphiques sont nombreuses, libres et évoluent : maquettes modulables (pages articles, photos, profils), fonds de pages thématiques, typos,
accessoires, etc.
> Lorsque la création est achevée, l’équipe de Fusion Books prend le relais et supervise la fabrication en fonction de la demande de l’école (impression, finition et façonnage de qualité librairie).
> Les yearbooks sont fabriqués puis livrés à l’école.
Naturellement, l’équipe de Fusion Books accompagne chaque client tout au long du projet, dans une tonalité pédagogique. Un chargé de clientèle répond aux éventuelles questions (par e-mail et téléphone) et un blog propose régulièrement des trucs et astuces pour alimenter l’inspiration des contributeurs. Tout est imaginé pour que l’école se sente à l’aise et soit si ravie qu’elle ait envie de faire du yearbook une tradition annuelle.

L’hégémonie américaine reste forte sur les campus
Cérémonies de remise des diplômes, bals de promos, sweat-shirts universitaires, réseaux sociaux et autres produits dérivés : aujourd’hui, les écoles crient haut et fort leur singularité. Si ce ne sont pas les résultats, ce sera la vie étudiante. Si ce ne sont pas les classements, ce sera la participation à des concours ou l’organisation de soirées mémorables. Les associations étudiantes s’inspirent fortement de la culture américaine pour séduire les étudiants, souvent avec les moyens du bord. Textile logoté, soirées à thèmes : tous les moyens sont bons pour s’assurer que les années passées à l’école resteront gravées dans les mémoires, et in fine, permettront de construire des réseaux solides et durables.

Les premiers clients acquis en 4 mois seulement par Fusion Books semblent confirmer le potentiel du Yearbook dans le monde étudiant. Quelques exemples : ESC Montpellier (dans le top 15 des écoles de commerce françaises), l’Institut de Hautes Etudes Glion en Suisse (classé 2ème  meilleure école d’hôtellerie au monde), ou encore l’IUT Tech de Co de Bordeaux, l’École des Hautes Etudes en Santé Publique (Rennes Sorbonne Paris Cité), etc.

Un beau challenge qui s’annonce pour Fusion Books France.
Pour en savoir plus sur Fusion Books, nous vous invitons à être présents lors de la présentation du 5 juin à l’Auberge Numérique, à Bordeaux.

Inscrivez-vous ici : presse@fusionbooks.fr
http://fusionbooks.fr

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